Restaurant – Omnivore 2018, mini récapitulatif.
» Le bonheur est un seul bouquet : confus, léger, sucré. » – Paul Eluard Petit article bonus sur Omnivore 2018. Ben oui, j’ai beau ne pas aimé écrire comme expliqué précédemment, ça ne m’empêche pas de me forcer. Bon j’en ai fait un peu moins que l’année dernière mais voila en tout cas ce que j’ai retenue. Déjà, la cuisine nordique, ça a l’air bien cool. Entre la queue de lotte qui baigne littéralement dans le beurre, servie sur une tranche de pain imbibé avec Torsten Schmidt et le hareng tout juste glazzed à la Marmite – l’anglaise, ha oui la pas de bol – ça donne envie. Rajoutez à ça sur une réflexion bien senti sur les différents courant culinaires européens via les alcools consommés, j’espère lui dire à bientôt. Sebastien Bras. Bon pour être honnête, jusqu’à présent je disait Brasse, comme à la piscine. Je devais avoir la tête dans les étoiles. Lui les a rendu. He ben, l’homme donne envie. avec son triptyque Volaille / Lentilles / Cédrat décliné en trio et en plein zen, l’homme de l’Aubrac était écouté avec attention dans l’amphi de la maison de la mutualité. Enfin l’Astrance. Haha. Ceux qui me connaissent comprendront. Pour les autres, disons que l’adresse ne me disait rien il y a encore deux ans. Ok, si tu ne me connais pas mais que tu connais la cuisine parisienne, tu peux te demander « wtf ». Bref. C’est décidé, j’irais. Par pour cette histoire passée. Non. Tout simplement pour la beauté de ce que j’ai vu. Donner autant (ou au moins à 95%) d’envie à un navet qu’à de la truffe, réussir à me faire vouloir du foie-gras et émerveiller mes yeux sur une simple riz blanc, ça ça m’attire. Bravo Pascal Barbot.. Félicitations Omnivore, c’était encore très cool. Je finis mes listes des adresses en To-Do que tu m’as donné l’année dernière et je m’attaque à la liste de cette année. Avant d’en trouver de nouvelles.. |